Contrepetries |
Elle dévala la berge verdoyante de son mieux. Elle déballa la verge merdoyante de son vieux. Le médecin ampute la jambe du roi. Le médecin enjambe la pute du roi. J'ai des rebords à mes épaulettes. J'ai des remords à baiser Paulette. Ils habitaient d'horribles gîtes quai Branly. Ils agitaient d'horribles bites qui bandaient. Conçu rue de la Paix. Son cul pue de la raie. Les linges qui sèchent mouillent les cordes. Les singes qui lèchent mordent les couilles. Quand sa poule mue, la fermière vit aux champs. Quand sa moule pue, la fermière chie au vent. Il faut brancher les colonnes avant d'entrer. Il faut branler les cochonnes avant d'entrer. Il tourna tristement sa peine vers ses livres. Il tourna tristement sa pine vers ses lèvres. Le vent siffle dans la rue du quai. Le vit s'enfle dans la raie du cul. Il faut se brancher au-dessus des lattes pour éviter les pannes de micro. Il faut se branler au-dessus des chattes pour éviter les pines de macreau. Elle est morte d'une crise au fond et les fouilles curieuses des archéologues n'y sont pas étrangères. Elle est morte d'une frise au con et les couilles furieuses des archéologues n'y sont pas étrangères. Il ne pas qu'on l'embête avec cet hercule. Il ne faut pas qu'on l'encule avec cet air bête. Votre mamie aime être sur ma route. Votre mamelle aime être sur ma biroute. Jouer du tennis en pension. Jouer du pénis en tension. Le capitaine lui brouille l'écoute avec sa panne de micro. Le capitaine lui broute les couilles avec sa pine de macreau. La femme du capitaine la fait mander à bord. La femme du capitaine l'a fait bander à mort. Avoir le choix dans la date. Avoir le doigt dans la chatte. Le capitaine gratte le fond de sa quille avec le fer de l'herminette. Le capitaine gratte le con de sa fille avec l'air de faire minette. Le boutre du sultan a coulé dans le confluent de la Garonne. Le foutre du sultan a coulé dans le con gluant de la Baronne. Dracula sous les embruns. Enculade sous les draps bruns. Le plan De Gaulle a percé le cœur de Massu. Le gland de Paul a percé le cul de ma sœur. Toute l'Afrique est dans l'attente d'une lutte passive avec les populations du cap. Toute la trique est dans la fente d'une pute lassive avec les copulations du Pape. Napoléon est arrivé à pied par la Chine. Le Caire est noir de monde. Napoléon est arrivé à chier par la pinne. Le con est noir de merde. La chine se soulève à la vue des nippons. Ce coup de blanc m'a grisée. La pinne se soulève à la vue des nichons. Ce coup de gland m'a brisée. La Chine se raidit à la vue du Pakistan. La pinne se raidit à la vue du chat qui se tend. Salut Patrick ! Ca pue la trique. L'Afrique est bonne hôtesse, ses canicules m'emballent. La trique est bonne aux fesses, ses cannibales m'enculent. Salut Fred ! Phallus raide ! Ce marchand qui vend de la serge m'a fait tâter un bob de cretonne. Ce marchand qui vend de la verge m'a fait tâter un con de bretonne. Le ministre ne veut pas qu'on l'envoie dans la culture. Le ministre ne veut pas qu'on l'encule dans la voiture. Les sources du bide. Les bourses du Cid. La pape n'aime pas que l'on bâcle les rites. Le pape n'aime pas que l'on racle les bites. A Beaumont-le-Vicomte. A beau con le vit monte. Je vous propose une escalope avec une belle salade. Je vous propose une escalade avec une belle salope. En cure, mais à la noce. Encore mais à l'anus. Le cuisinier purifie la vaisselle avant de l'empiler avec un fiston. Le cuisinier vérifie la pucelle avant de l'enfiler avec son piston. L'abus de marc rend pénible la diction. L'abus de dard rend pénible la miction. Je me suis réveillé avec des puces dans le cou. Je me suis réveillé avec des pouces dans le cul. Vive la notion de pile. Vive la lotion de pinne. Comtesse, votre balcon saille dangereusement. Comtesse, votre sale con baille dangereusement. Elle s'en revient de la ferme pleine d'espoir jusqu'au pont du jura. Elle s'en revient de la foire pleine de sperme jusqu'au ras du jupon. La directrice a interdit les salles dans le couloir annexe. La directrice a interdit les sexes dans le couloir anal. Elle leur fera une bise sur la tête. Il a la trouille des cuites. Elle leur fera une thèse sur la bitte. Il a la couilles détruite. Un cri émanant d'une foule empilée : Ciel ! Je suis acculé à la rampe. Un cri émanant d'une moule enfilée : Ciel ! Je suis enculé à la râpe. Elle a toujours à la bouche le mot de guichet. Le foot rugueux. Elle a toujours à la bouche le godemichet. Le rut fougueux. La secrétaire adore leur tête de jeunes bizarres. Le pêcheur de lutins. La secrétaire adore leur bites de jeunes thésards. Le lécheur de putains. La cuvette est pleine de bouillon. Le guetteur vous a montré son plan. La buvette est pleine de couillons. Le pêteur vous a montré son gland. Quand les athées se battent, les abbés se taisent. Cette Belgique, quel entrain. Quand les abbés se tâtent, les athées se baisent. Cette belle trique, quel engin ! Le curé est devenu fou entre les deux messes. Le curé est devenu mou entre les deux fesses. C'est pas le tout de faire la marié, il faut arriver à Bandol. C'est pas le tout de faire le mariole, il faut arriver à bander. Le vieux marcheur veut courir sur le mont. Le vieux marcheur veut mourir sur le con. Voilà une boîte de riz, dit-elle, pour mon goût charmant. Voilà une bitte de roi, dit-elle, pour mon chat gourmand. Mesdames, si vous aimez les maths, il vaut mieux l'été, entrouvrir vos châles. Mesdames, si vous aimez les mâles, il vaut mieux l'été, entrouvrir vos chattes. La secrétaire n'ayant pas son plan comptable se contenta de la dotation du roi. La secrétaire n'ayant pas son con plantable se contenta de la rotation du doigt. Les catacombes le long de la verge au ravin. Les cacas tombent le long de la verge du rabbin. En outre, permettez Madame la Marquise, vous qui êtes folle de la messe et folle de la menthe, que je déverse dans vos caisses, le produit de mes fouilles. En outre, permettez Madame la Marquise, vous qui molle de la fesse et molle de la fente, que je déverse dans vos fesses, le produit de mes couilles. Le politicien lui montre ce qu'est la tour de l'abîme puis l'alize dans le beffroi. Mais ce qu'elle préfère, ce sont les murs d'ambre et pas ce politicien qui ment debout. Elle l'a donc laissé dans l'évêché. Le politicien lui montre ce qu'est l'amour de la bitte puis la baise dans le lit froid. Mais ce qu'elle préfère, ce sont les membres durs et pas ce politicien qui bande mou. Elle l'a donc léché dans les vécés. Elles trouvent facilement des livres pour leurs peines. Elles trouvent facilement des pinnes pour leurs lèvres. La rameuse dévoila son coeur au baron. La rameuse dévoila son con au barreur. C'est pour moi une sacrée bête qu'un faucon. C'est pour moi une sacrée fête qu'un beau con. Je lui caresserai les tresses après le football. Je lui caresserai les fesses après le trou d'balle. Elle préfère jouer à l'ombre plutôt que de rôtir au soleil. Elle préfère jouir à l'ombre plutôt que de roter au soleil. Admirez le champion pendant le tennis. Admirez le champion tendant le pénis. Ils ont montré leurs phalanges aux russes. Ils ont montré leurs phallus orange. Le moniteur règne sans fartage sur les pentes. Le moniteur règne sans partage sur les fentes. Voulez-vous boire ça vite ou préférez-vous un truc doux ? Voulez-vous voir sa bitte ou préférez-vous un trouduc ? La mafieuse en a passé des surins. La mafieuse en a sucé des parrains. Le cuisinier, un canard sur le feu, surveillait une tourte aux cailles. Le cuisinier, un cafard sur le noeud, surveillait une tarte aux couilles. En ouvrant les huîtres, ne glissez pas l'écaille entre deux mouchoirs. En ouvrant les huîtres, ne glissez pas les couilles entre deux mâchoires. Vous verrez ceci si je branche cela. Outremer, les ponts sont de couleur marine. Vous serrez ce vit si je branle ce chat. Outremer, les pinnes sont de couleur marron. Tout confus sur ce canapé, que je t'offre une pierre fine. Fous ton cul sur ce canapé, que je t'offre une fière pinne. Le petit Bouygues amassait les bétons à la tonne. Le petit Bouygues a massé les tétons à la bonne. Il faut mettre du jambon dans l'entrecôte. La moujik lèche la botte à Staline. Il faut mettre du con dans l'entrejambe. La moujik lèche la bitte à Stallone. Il mit une cangue au cou de Mélusine. La bureautique est un mythe. Il mit une langue au cul de mes cousines. La bitte est un mur aux tiques Et maintenant, un menu de contrepétries : Hôtel du congre debout et du bon coucher. Auberge de Vendée. Hôtel du bougre de con et du con couché. Aux verges de bander. Menu : Rillettes en fût. Tourte de cailles. Fillettes en rut. Tarte de couilles. Les nouilles cuisant au jus de canne Riz condé. Les couilles nuisant au cul de Jeanne Con ridé. Une roussette juste pêchée. Escalopes sur une belle salade. Une roupette juste séchée. Escalades sur une belle salope. Jolies tranches dans le mou, la fine ou l'épaisse. Poire à la fine. Jolis manches dans le trou, la pinne ou les fesses. Foire à la pinne. Les glacés du Mans. Goûtez nos farces. Les massés du gland. Foutez nos garces. Superbes chambres au mois. Notre admirable beauté de site. Superbes membres au choix. Notre admirable sauté de bitte. Notre vieille fine sans dépôt. Vieux marc très doux. Notre vieille pinne sans défaut. Vieux dard très mou. Flan anglais aux baies d'airelles. Gland enflé aux raies des belles. Le caneton à la russe. Le carton à l'anus. Poires au goût de terrine. Pinnes au goût de terroir. Pour changer, un poème de contrepétries : Saisons belles qui passent, que le temps ne dévide Baisons celles qui passent, que le vit ne détende Et des logis nîmois. J'ai les reins sur la mousse. Et des jolis minois. J'ai les mains sur la rousse. Que le Gard rend Si douce. Des bêtes hantent ses rives. Que le dard rend Si gousse. Des bites hantent ses rêves. Les tendres faons qu'on presse. Les biches dans les mares Les tendres fesses qu'on prend. Les barres dans les miches Les petits daims dociles Les chèvres du valet Les petits seins d'Odiles Les lèvres du chalet Sur le thym de la sente. Et les menthes qui saoulent... Sur le sein de la tante. Et les moules qui sentent... Les vents sur les jachères Vont à l'assaut des pins Les gens sur les vachères Vont à la peau des seins Ma flûte que je perds Tu vas gémir de froid Sous le vent de l'hiver Ma pute que je flaire Tu va frémir de joie Sous le vit de l'envers L'alcool est ton ennemi Les belles-mères, Dieu a dit : " Aime ton ennemi " C'est comme les étoiles : Alors : " A ta santé ! " Il faut les admirer de loin. On est libre de penser qu'on est con, Sourire, c'est la façon la plus élégante Mais con de penser qu'on est libre. De montrer les dents à l'adversaire. Si vous êtes innocent de la tête que vous avez, Vous êtes responsable de la tête que vous faites. Il y a tellement de langues différentes, Le savoir est une arme. Que seul le sourire est universel. Maintenant je sais. Le plus difficile au monde Afrique du Nord : Est de dire en y pensant Passes le cap de Bonne Espérance Ce que tout le monde Afrique du Sud : Dit sans y penser. Ne perds pas le Nord. La théorie, c'est quand on comprend tout, mais que rien ne marche. La pratique, c'est quand tout marche, mais on ne sait pas pourquoi. Ici, nous avons réussi les deux : rien ne marche et personne ne sait pourquoi ! La jeunesse, c'est comme des peintures abstraites : On l'admire, mais personne ne la comprend. Il n'est pas nécessaire d'être fou pour travailler ici, mais ça aide ! L'alcoolisme rend : Le cercueil, c'est la dernière boite de nuit. - L'homme violent, - L'enfant victime, Les coupables, il vaut mieux les désigner - La femme martyre. Plutôt que de les rechercher. La culture, c'est ce qui reste quand on a tout oublié. LA PRIERE DU CHEVAL O mon maître, Je voudrais être ton compagnon honnête plutôt que ta plus belle conquête. Apprends à me parler, je te comprendrais sans me tromper. Que ta main soit ferme sur les rênes, alors où tu veux je t'emmène. Aies confiance en moi autant qu'il faut, ma loyauté ne te fera pas défaut. N'aies crainte de me charger, j'ai de la force à dépenser. Si tu ne choisissais qu'un seul ami, je voudrais être celui-ci. Le balzané des derniers (pieds postérieurs), Son maître ne sera jamais ruiné. Si ton cheval a 4 balzanes, ne le garde pas un jour de plus. Si ton cheval a 3 balzanes, envoies-le au diable. Si ton cheval a 2 balzanes, vends-le à un ami. Si ton cheval a une balzane, gardes-le pour toi. Balzane de un : cheval de rien. Balzane de deux : cheval de gueux. Balzane de trois : cheval de roi. Balzane de quatre : cheval à abattre. |